... mais l'art est difficile (Philippe Néricault dit Destouches, 1680-1754)
lundi 9 janvier 2012
La fourmilière
Une critique rédigée par Doc-Mentalist
La 4ème de couverture :
Personne ne choisit vraiment de vivre au 33, Georgiana Street. L’immeuble est situé dans un quartier peu engageant de Londres. Les appartements sont minuscules, sales, délabrés. L’électricité et le loyer se paient à la semaine. Seul avantage du lieu : Steve, le propriétaire, ne pose pas de questions.
Pour un garçon de 17 ans qui a fugué, l’endroit est idéal. Sam s’est réfugié à Londres parce que ici, personne ne sait qui il est, ni ce qu’il a fait.
Cherry et sa fille Bohême sont deux autres nouvelles locataires qui déménagent au gré des petits amis de Cherry.
A 10 ans, Bohême se débrouille toute seule, car sa mère est bien trop fragile et perdue pour arriver à s’occuper de sa fille. Au 33, Georgiana Street, on évite de se mêler des affaires des autres. Mais Bohême va bouleverser la vie de l’immeuble. Elle a besoin d’un ami, et c’est Sam qu’elle a choisi.
Commentaire :
Ce roman se lit facilement mais il faut attendre la page 176 pour que l'histoire prenne un tournant inattendu. La fin du livre aborde des thèmes difficiles à évoquer avec des ados et toutes ces pistes sont de vraies pépites pour un enseignant. En effet, la discussion et la compréhension de ce texte permettent de s'enrichir et de se construire. A lire absolument car il permet un débat intergénérationnel.
La fourmilière de Jenny Valentine, traduit de l'anglais par Cyrielle Ayakatsikas.
Publié en 2009, traduit en 2011.
La note de Doc-Mentalist : 3/4 (très bien)
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